Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
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Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
La nouvelle a eu l’effet d’une bombe. Une vraie ou une fausse ? De tous les points de vue, cela révèle une chose. Le point névralgique et stratégique de l’UDPS a changé. Etienne Tshisekedi n’est plus au contrôle de la machine. L’industrie familiale du vrai-faux et/ou du faux-vrai a eu raison sur le principe de l’équité et de la démocratie prôné par le sphinx de Limete. Tenez, la nouvelle de la nomination ne vient pas de n’importe qui. Richard Babadi, un des neveux nationaux du parti très très démocratique, pour paraphrasé Mamane, de l’UDPS. Neveu national, Babadi ne l’est pas vraiment, bien qu’il se fasse passer parfois comme tel. Chose certaine, il est du sérail du sphinx el-Bruxelles. Il est au parfum des secrets de l’hôpital Ste Élisabeth d’Uccle. L’homme a toujours annoncé en exclusivité, des semaines, voire des mois en avance, toutes les grandes décisions de ce parti depuis qu’Etienne Tshisekedi est malade en Belgique. Déjà en septembre 2014, il promettait la porte à certains représentants du parti qui soupçonnaient la famille de Tshisekedi de préparer Félix comme remplaçant de son père à la tête de l’UDPS. Quatre mois après, en Janvier 2015, c’était chose faite. C’est aussi par lui que, depuis novembre 2014, a bruité mot à mot le message d’Etienne Tshisekedi appelant la classe politique congolaise au dialogue autour de Kabila et la population à éviter le soulèvement populaire à la tunisienne ou à la burkinabés. Comme pour dire que l’adresse d’Etienne.
Son Twitt du 13 décembre 2015, suivi d’un email envoyé à ses proches révèlent l’anguille qui se cachait sous la roche. Babadi va même publier son scoop sur son blog, mais qu’il va vite enlever. Trop tard, la nouvelle est déjà rependue comme le sel dans l’eau. Félix Tshilombo, dit Napoléon Félix Bonaparte Tshilombo, un des fils d’Etienne Tshisekedi et Marthe Kasalu est nommé vice-président de l’UDPS, un poste non statutaire.
“Vice-roi” Félix Tshilombo Tshisekedi
Une manœuvre venue de loin
Même si la nouvelle parait comme un buzz ou un test visant à préparer les esprits, tout porte à croire que les Tshisekedi du père (peut-être) aux fils surtout en passant par la mère avaient déjà tout mis en place pour que l’UDPS se « monarchiser ». Déjà, en 2010, l’UDPS change de nom au ministère de l’intérieur de la RD-Congo pour s’appeler désormais : UDPS Tshisekedi. A l’époque une raison apparemment fondée est avancée : UDPS Tshisekedi pour faire la différence avec les trois autres UDPS déjà enregistrées afin d’éviter les déboires de 2006 sous Théophile Mbemba qui avait refusé d’enregistrer les candidatures des membres de ce parti en les renvoyant résoudre le problème de nom devant la justice.
C’est en janvier 2013 que l’intention que nourrissaient les partisans du changement de nom commence à se dessiner. Peu avant 2013, on fait passer le premier coup de balai à la cour du lider maximo. Jacquemin Shabani est jeté dehors. A la base, un complot monté par un certain Jeancy Mulumba, membre de la famille de Tshisekedi wa Mulumba. La justice à laquelle UDPS fait recourt disculpe le jeune secrétaire général et condamne Mulumba Jeancy. Mais le mal est déjà fait, Mulamba lui rentre à la résidence d’Etienne Tshisekedi où il passe ses journées, mais Jacquemin est devenu, quant à lui, persona non grata. La voie est désormais libre pour opérer.
En janvier 2013, une fois l’affaire Shabani classée, une modification des statuts faite en cachette et attribuée à Tshisekedi est opérée. Trois grandes dispositions statutaires sont touchées et un pouvoir presque absolu est conféré à Etienne Tshisekedi. Ce qui fait dire au détracteur du sphinx qu’il ne pouvait pas ne pas être au courant. En effet, les modifications font disparaitre la disposition qui lui accordait trois années transitoires à Tshisekedi comme seule personne pouvant nommer et défaire les cadres de la base. En clair, les statuts votés au Congrès de l’UDPS de 2010 prévoyaient que les cadres devaient dès décembre 2013 être élus par leurs bases respectives et non nommés par le président du parti. Démocratie oblige. Cependant, en attendant la mise en place de la commission électorale permanente du parti, Etienne Tshisekedi avait le pouvoir de nommer jusqu’en décembre 2013. C’est cette disposition qui saute.
Une autre disposition qui tombe est celle qui conférait àseul le Congrès de l’UDPS le pouvoir de créer des nouveaux organes. Cette prérogative est, dans les nouveaux statuts, attribuée à Etienne Tshisekedi.
Par ailleurs, les nouveaux statuts de l’UDPS fabriqués dans la résidence d’Etienne Tshisekedi ne fait même pas allusion aux fédérations extérieures de ce parti. Elles disparaissent tout bonnement des textes officiels, car jugées trop exigeantes, peu fanatiques et gardiennes démocratiques au sein de ce parti. Le décor est donc planté.
Que le bal commence !
A l’extérieur de la RD Congo, les cadres de ce parti commençaient déjà à sentir le malaise dès fin 2013. Etienne Tshisekedi disparait presque de la circulation. Il est dit malade ou fatigué par le poids de l’âge. A la demande de toutes les fédérations de ce parti, il se tiendra en février 2014 un conclave à Bruxelles sous la direction de Félix Tshilombo en sa qualité de secrétaire national aux relations extérieures. Lors de cette réunion, il est évoqué la question de la succession d’Etienne Tshisekedi. Une résolution à proposer au prochain Congrès du parti est votée : la création du poste de vice-président. Comme on pouvait s’en douter, le fils crie au coup d’État et fait appel à sa mère, Marthe Kasalu qui, curieusement, n’était pas loin de l’hôtel où se tenait le conclave de Bruxelles, alors qu’Etienne Tshisekedi était malade à Kinshasa. Par conséquent, ces résolutions qui devaient être présentées à Etienne Tshisekedi avant toute publication et/ou proposition au Congrès ne le seront jamais. Le fils qui occupe le poste du Secrétaire national en charge des relations extérieures les mettra sous ses aisselles.
Bien au contraire, c’est le bal des pendus qui commence. Après le conclave de Bruxelles, la mère saute sur la première occasion qui se présente et rentre à Kinshasa pour faire passer le deuxième coup de balai. Cette fois-ci, c’est Albert Moleka, le directeur de cabinet de Tshisekedi qui saute. Ainsi les bruits de Bruxelles n’atteindront jamais les oreilles d’Etienne. Quelques semaines plus tard, Le père est placé dans un hôpital à Monkolo avant d’être évacué et interné, voire enfermé au troisième étage de l’hôpital Ste Élisabeth d’Uccle en Belgique. Son médecin soignant, le docteur Ilunga, qui semble jouer le jeu, est nommé directeur de cabinet en remplacement d’Albert Moleka. La consigne est donnée Aucun cadre du parti n’a le droit de visiter le sphinx, c’est maman qui l’a dit. Le fils, quant à lui, rejoint sa mère à Kinshasa avant de se lancer dans une campagne dite de redynamisation du parti à l’intérieur du pays. Tout est clair, il veut se faire une popularité avant de prendre la place du père.
Depuis Bruxelles et Toronto, une équipe de campagne est mise en place A sa tête, des cousins, cousines et amis tous liés par le clan ou la tribu dont Babadi, Muntuabu, Nkashama et Lukuna sont des meneurs. Un journal est mis sur pied : le babillard. La une du premier numéro dit tout : un leader nous est né. Les autres représentants de l’UDPS extérieure sont sommés à garder silence. On promet la porte à celui qui s’opposerait au gardien du temps. La suite tout le monde le connait.
http://softkens.com/blog1/2015/03/17/monarchie-udps-a-son-vi-ce-roi-felix-tshilombo-tshisekedi/
La nouvelle a eu l’effet d’une bombe. Une vraie ou une fausse ? De tous les points de vue, cela révèle une chose. Le point névralgique et stratégique de l’UDPS a changé. Etienne Tshisekedi n’est plus au contrôle de la machine. L’industrie familiale du vrai-faux et/ou du faux-vrai a eu raison sur le principe de l’équité et de la démocratie prôné par le sphinx de Limete. Tenez, la nouvelle de la nomination ne vient pas de n’importe qui. Richard Babadi, un des neveux nationaux du parti très très démocratique, pour paraphrasé Mamane, de l’UDPS. Neveu national, Babadi ne l’est pas vraiment, bien qu’il se fasse passer parfois comme tel. Chose certaine, il est du sérail du sphinx el-Bruxelles. Il est au parfum des secrets de l’hôpital Ste Élisabeth d’Uccle. L’homme a toujours annoncé en exclusivité, des semaines, voire des mois en avance, toutes les grandes décisions de ce parti depuis qu’Etienne Tshisekedi est malade en Belgique. Déjà en septembre 2014, il promettait la porte à certains représentants du parti qui soupçonnaient la famille de Tshisekedi de préparer Félix comme remplaçant de son père à la tête de l’UDPS. Quatre mois après, en Janvier 2015, c’était chose faite. C’est aussi par lui que, depuis novembre 2014, a bruité mot à mot le message d’Etienne Tshisekedi appelant la classe politique congolaise au dialogue autour de Kabila et la population à éviter le soulèvement populaire à la tunisienne ou à la burkinabés. Comme pour dire que l’adresse d’Etienne.
Son Twitt du 13 décembre 2015, suivi d’un email envoyé à ses proches révèlent l’anguille qui se cachait sous la roche. Babadi va même publier son scoop sur son blog, mais qu’il va vite enlever. Trop tard, la nouvelle est déjà rependue comme le sel dans l’eau. Félix Tshilombo, dit Napoléon Félix Bonaparte Tshilombo, un des fils d’Etienne Tshisekedi et Marthe Kasalu est nommé vice-président de l’UDPS, un poste non statutaire.
“Vice-roi” Félix Tshilombo Tshisekedi
Une manœuvre venue de loin
Même si la nouvelle parait comme un buzz ou un test visant à préparer les esprits, tout porte à croire que les Tshisekedi du père (peut-être) aux fils surtout en passant par la mère avaient déjà tout mis en place pour que l’UDPS se « monarchiser ». Déjà, en 2010, l’UDPS change de nom au ministère de l’intérieur de la RD-Congo pour s’appeler désormais : UDPS Tshisekedi. A l’époque une raison apparemment fondée est avancée : UDPS Tshisekedi pour faire la différence avec les trois autres UDPS déjà enregistrées afin d’éviter les déboires de 2006 sous Théophile Mbemba qui avait refusé d’enregistrer les candidatures des membres de ce parti en les renvoyant résoudre le problème de nom devant la justice.
C’est en janvier 2013 que l’intention que nourrissaient les partisans du changement de nom commence à se dessiner. Peu avant 2013, on fait passer le premier coup de balai à la cour du lider maximo. Jacquemin Shabani est jeté dehors. A la base, un complot monté par un certain Jeancy Mulumba, membre de la famille de Tshisekedi wa Mulumba. La justice à laquelle UDPS fait recourt disculpe le jeune secrétaire général et condamne Mulumba Jeancy. Mais le mal est déjà fait, Mulamba lui rentre à la résidence d’Etienne Tshisekedi où il passe ses journées, mais Jacquemin est devenu, quant à lui, persona non grata. La voie est désormais libre pour opérer.
En janvier 2013, une fois l’affaire Shabani classée, une modification des statuts faite en cachette et attribuée à Tshisekedi est opérée. Trois grandes dispositions statutaires sont touchées et un pouvoir presque absolu est conféré à Etienne Tshisekedi. Ce qui fait dire au détracteur du sphinx qu’il ne pouvait pas ne pas être au courant. En effet, les modifications font disparaitre la disposition qui lui accordait trois années transitoires à Tshisekedi comme seule personne pouvant nommer et défaire les cadres de la base. En clair, les statuts votés au Congrès de l’UDPS de 2010 prévoyaient que les cadres devaient dès décembre 2013 être élus par leurs bases respectives et non nommés par le président du parti. Démocratie oblige. Cependant, en attendant la mise en place de la commission électorale permanente du parti, Etienne Tshisekedi avait le pouvoir de nommer jusqu’en décembre 2013. C’est cette disposition qui saute.
Une autre disposition qui tombe est celle qui conférait àseul le Congrès de l’UDPS le pouvoir de créer des nouveaux organes. Cette prérogative est, dans les nouveaux statuts, attribuée à Etienne Tshisekedi.
Par ailleurs, les nouveaux statuts de l’UDPS fabriqués dans la résidence d’Etienne Tshisekedi ne fait même pas allusion aux fédérations extérieures de ce parti. Elles disparaissent tout bonnement des textes officiels, car jugées trop exigeantes, peu fanatiques et gardiennes démocratiques au sein de ce parti. Le décor est donc planté.
Que le bal commence !
A l’extérieur de la RD Congo, les cadres de ce parti commençaient déjà à sentir le malaise dès fin 2013. Etienne Tshisekedi disparait presque de la circulation. Il est dit malade ou fatigué par le poids de l’âge. A la demande de toutes les fédérations de ce parti, il se tiendra en février 2014 un conclave à Bruxelles sous la direction de Félix Tshilombo en sa qualité de secrétaire national aux relations extérieures. Lors de cette réunion, il est évoqué la question de la succession d’Etienne Tshisekedi. Une résolution à proposer au prochain Congrès du parti est votée : la création du poste de vice-président. Comme on pouvait s’en douter, le fils crie au coup d’État et fait appel à sa mère, Marthe Kasalu qui, curieusement, n’était pas loin de l’hôtel où se tenait le conclave de Bruxelles, alors qu’Etienne Tshisekedi était malade à Kinshasa. Par conséquent, ces résolutions qui devaient être présentées à Etienne Tshisekedi avant toute publication et/ou proposition au Congrès ne le seront jamais. Le fils qui occupe le poste du Secrétaire national en charge des relations extérieures les mettra sous ses aisselles.
Bien au contraire, c’est le bal des pendus qui commence. Après le conclave de Bruxelles, la mère saute sur la première occasion qui se présente et rentre à Kinshasa pour faire passer le deuxième coup de balai. Cette fois-ci, c’est Albert Moleka, le directeur de cabinet de Tshisekedi qui saute. Ainsi les bruits de Bruxelles n’atteindront jamais les oreilles d’Etienne. Quelques semaines plus tard, Le père est placé dans un hôpital à Monkolo avant d’être évacué et interné, voire enfermé au troisième étage de l’hôpital Ste Élisabeth d’Uccle en Belgique. Son médecin soignant, le docteur Ilunga, qui semble jouer le jeu, est nommé directeur de cabinet en remplacement d’Albert Moleka. La consigne est donnée Aucun cadre du parti n’a le droit de visiter le sphinx, c’est maman qui l’a dit. Le fils, quant à lui, rejoint sa mère à Kinshasa avant de se lancer dans une campagne dite de redynamisation du parti à l’intérieur du pays. Tout est clair, il veut se faire une popularité avant de prendre la place du père.
Depuis Bruxelles et Toronto, une équipe de campagne est mise en place A sa tête, des cousins, cousines et amis tous liés par le clan ou la tribu dont Babadi, Muntuabu, Nkashama et Lukuna sont des meneurs. Un journal est mis sur pied : le babillard. La une du premier numéro dit tout : un leader nous est né. Les autres représentants de l’UDPS extérieure sont sommés à garder silence. On promet la porte à celui qui s’opposerait au gardien du temps. La suite tout le monde le connait.
http://softkens.com/blog1/2015/03/17/monarchie-udps-a-son-vi-ce-roi-felix-tshilombo-tshisekedi/
Ramboché- Modérateurs
- Messages : 476
Date d'inscription : 17/10/2012
Re: Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
Ci-dessous l’ensemble des décisions de nouvelles nominations
Mathilde- Modérateurs
- Messages : 4961
Date d'inscription : 15/10/2012
Re: Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
Ramborien voila que tu deviens un faux spécialiste dans la désinformation, voila la liste des nomination récent de l UDPS et Félix Tshisekedi garde son poste et nul part est mentionné qu'il prend la place de son père ou le succède que ton article veux le faire croire aux gens tout en bégayant .
Tu ferais mieux d aller monter la garde devant la porte de Kanambe parce que le syndrome de la peur a changé de camps.
Kanambe tremble tellement qu'il fait arreter tout ce qui bouge.
Tu ferais mieux d aller monter la garde devant la porte de Kanambe parce que le syndrome de la peur a changé de camps.
Kanambe tremble tellement qu'il fait arreter tout ce qui bouge.
mapata- Modérateurs
- Messages : 660
Date d'inscription : 15/10/2012
Re: Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
FELIX TSHISEKEDI : « LE DIALOGUE, CE N'EST PAS POUR GOUVERNER AVEC KABILA MAIS POUR GARANTIR DES ÉLECTIONS FIABLES »
« Par deux fois, la vérité des urnes a été tronquée. Cette fois nous avons le devoir patriotique et moral de prévenir une nouvelle fraude. Le dialogue que nous appelons de nos vœux vise uniquement à préparer des élections fiables et à instituer de la cohérence et de la logique dans le cycle des prochaines consultations électorales. » a déclaré Felix Tshisekedi
Pour en savoir plus :
http://www.voiceofcongo.net/felix-tshisekedi-le-dialogue-ce-nest-pas-pour-gouverner-avec-kabila-mais-pour-garantir-des-elections-fiables
« Par deux fois, la vérité des urnes a été tronquée. Cette fois nous avons le devoir patriotique et moral de prévenir une nouvelle fraude. Le dialogue que nous appelons de nos vœux vise uniquement à préparer des élections fiables et à instituer de la cohérence et de la logique dans le cycle des prochaines consultations électorales. » a déclaré Felix Tshisekedi
Pour en savoir plus :
http://www.voiceofcongo.net/felix-tshisekedi-le-dialogue-ce-nest-pas-pour-gouverner-avec-kabila-mais-pour-garantir-des-elections-fiables
Mathilde- Modérateurs
- Messages : 4961
Date d'inscription : 15/10/2012
Re: Monarchie: UDPS a son “vice roi”, Félix Tshilombo Tshisekedi
Au commence était la parole lit on dans la bible et pourquoi pas régler nos différents avec les paroles pour éviter de gonfler le nombre des victimes .
Mais dialogue ou pas le vin est tiré il faut le boire donc partir avant ou a la fin du mandat Kanambe doit partir le problème c est d’éviter que l on nous impose un Kanambe bis.
Mais dialogue ou pas le vin est tiré il faut le boire donc partir avant ou a la fin du mandat Kanambe doit partir le problème c est d’éviter que l on nous impose un Kanambe bis.
Ousmane- Modérateurs
- Messages : 450
Date d'inscription : 15/10/2012
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