Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir
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Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir
Au fur et à mesure que les échéances électorales approchent, en République Démocratique du Congo, le climat politique se dégrade de plus en plus. Mais, les jours comme les nuits avancent rapidement. Et le mandat présidentiel de Joseph Kabila s’achemine lentement mais sûrement vers la fin du règne ! Personne dans son entourage n’ose s’aventurer à arrêter un cycle horaire, mais les signes des temps sont bien là avec le point final d’un homme, Joseph Kabila, qui a pu imposer sa marque, durant 14 ans, comme président de la République, par défi, d’un si grand et beau pays, au cœur de l’Afrique.
Pris de panique obligée, Joseph Kabila organise, de sa seule initiative, des consultations populaires, qui ont pour but de « convoquer » un grand forum national. Celui-ci aurait pour tâche essentielle d’organiser de soi-disant « élections apaisées» dans « toute l’étendue de la République ».
Avoir peur n’est pas seulement le sort obligé de tous les enfants, mais c’est aussi le sort propre de tous les hommes. Mais, il y a diverses circonstances qui peuvent être la cause de la peur. Tel est le cas, présentement, de Joseph Kabila, qui ne veut absolument pas que l’on parle d’élections, en dehors de lui, pour lesquelles il ne peut plus s’y représenter.
Il s’agit d’un troisième mandat consécutif et l’article 64 de la Constitution le lui interdit formellement, sans autre formalité, de s’y présenter.
Pourtant, Joseph Kabila le sait, dans un Etat démocratique où la Constitution prévoit l’alternance politique, le président sortant doit pouvoir quitter l’arène politique dans la sérénité et la sécurité ! Cela est certain, si du moins, sa gestion n’a pas été entachée de crimes, de corruption, de détournements de deniers publics et de violation de la Constitution. C’est là que réside tout le problème de Joseph Kabila !
Bref, Joseph Kabila n’a pas les mains propres ! Dans son cas, on peut dire que l’épée de Damoclès lui pend sur la tête. Comment ne pas perdre sa sérénité et son calme, et même la joie de vivre, lorsque l’on sait qu’il y a plusieurs cadavres dans le placard ?
Aussi, la première chose qui fait peur à Joseph Kabila, c’est qu’il appréhende d’être lâché par ses mentors occidentaux, américains et européens. S’il redevient comme un électron libre, tout peut lui arriver, notamment, que le peuple qu’il aura brimé, opprimé, massacré, affamé, vampirisé, ne puisse lui demander de rendre des comptes, conformément à la loi. Et si la loi est appliquée, Joseph Kabila sait que, même sans aller à la Cour Pénale Internationale (CPI), la justice congolaise pourrait ne pas lui faire de cadeaux ! Mais, on lui dira, comme à tout criminel : « Dura lex, sed lex ! » ( La loi est dure, mais c’est la loi ).
Joseph Kabila a vraiment la peur au ventre, aujourd’hui. Il revisite enfin son passé chargé d’impostures et d’actes de violations graves des droits de l’homme. En jouant au dictateur, il s’est ouvert un chemin royal, dans l’arbitraire de tout poil. Il a perdu la tête, en se prenant pour un potentat, un despote, le maître du temps et de l’histoire des autres humains.
La République Démocratique du Congo attend, patiemment, son heure. Pendant ce temps, Joseph Kabila se débat comme un diable dans un bénitier. Il a de la frousse, ne sachant plus trop où donner de la tête. Les consultations nationales ne lui ayant rien rapporté, il prône maintenant un prétendu dialogue. Ce faisant, il récupère l’idée de l’opposant devenu célèbre, Eugène Diomi Ndongala. Mais ce dialogue n’est pas pareil, mis dans la bouche de Joseph Kabila. Ce dernier fait de la récupération politique dans la fausseté pour ne pas dire dans le grotesque.
Il a peur de libérer les prisonniers politiques et même ceux de délit d’opinion. Car, s’il les libérait, il y aurait la peur de la revanche et de la rancune, pense-t-il ! Donc, peur du règlement de compte. Joseph Kabila est loin, très loin de se présenter en héros, car « Un héros n’est pas un homme qui a trop peur de s’enfuir. » Or, dans le cas de Joseph Kabila, tout, dans son action politique, indique que c’est un homme à enfermer dans une prison hautement sécurisée.
A dire vrai, Joseph Kabila Kabange n’a pas tiré leçon de l’histoire de notre peuple, ni de l’histoire de l’Afrique, sans parler de l’histoire politique du monde.
http://www.congointello.com/joseph-kabila-a-peur-de-quitter-le-pouvoir/
BAMBA-DI-LELO
Pris de panique obligée, Joseph Kabila organise, de sa seule initiative, des consultations populaires, qui ont pour but de « convoquer » un grand forum national. Celui-ci aurait pour tâche essentielle d’organiser de soi-disant « élections apaisées» dans « toute l’étendue de la République ».
Avoir peur n’est pas seulement le sort obligé de tous les enfants, mais c’est aussi le sort propre de tous les hommes. Mais, il y a diverses circonstances qui peuvent être la cause de la peur. Tel est le cas, présentement, de Joseph Kabila, qui ne veut absolument pas que l’on parle d’élections, en dehors de lui, pour lesquelles il ne peut plus s’y représenter.
Il s’agit d’un troisième mandat consécutif et l’article 64 de la Constitution le lui interdit formellement, sans autre formalité, de s’y présenter.
Pourtant, Joseph Kabila le sait, dans un Etat démocratique où la Constitution prévoit l’alternance politique, le président sortant doit pouvoir quitter l’arène politique dans la sérénité et la sécurité ! Cela est certain, si du moins, sa gestion n’a pas été entachée de crimes, de corruption, de détournements de deniers publics et de violation de la Constitution. C’est là que réside tout le problème de Joseph Kabila !
Bref, Joseph Kabila n’a pas les mains propres ! Dans son cas, on peut dire que l’épée de Damoclès lui pend sur la tête. Comment ne pas perdre sa sérénité et son calme, et même la joie de vivre, lorsque l’on sait qu’il y a plusieurs cadavres dans le placard ?
Aussi, la première chose qui fait peur à Joseph Kabila, c’est qu’il appréhende d’être lâché par ses mentors occidentaux, américains et européens. S’il redevient comme un électron libre, tout peut lui arriver, notamment, que le peuple qu’il aura brimé, opprimé, massacré, affamé, vampirisé, ne puisse lui demander de rendre des comptes, conformément à la loi. Et si la loi est appliquée, Joseph Kabila sait que, même sans aller à la Cour Pénale Internationale (CPI), la justice congolaise pourrait ne pas lui faire de cadeaux ! Mais, on lui dira, comme à tout criminel : « Dura lex, sed lex ! » ( La loi est dure, mais c’est la loi ).
Joseph Kabila a vraiment la peur au ventre, aujourd’hui. Il revisite enfin son passé chargé d’impostures et d’actes de violations graves des droits de l’homme. En jouant au dictateur, il s’est ouvert un chemin royal, dans l’arbitraire de tout poil. Il a perdu la tête, en se prenant pour un potentat, un despote, le maître du temps et de l’histoire des autres humains.
La République Démocratique du Congo attend, patiemment, son heure. Pendant ce temps, Joseph Kabila se débat comme un diable dans un bénitier. Il a de la frousse, ne sachant plus trop où donner de la tête. Les consultations nationales ne lui ayant rien rapporté, il prône maintenant un prétendu dialogue. Ce faisant, il récupère l’idée de l’opposant devenu célèbre, Eugène Diomi Ndongala. Mais ce dialogue n’est pas pareil, mis dans la bouche de Joseph Kabila. Ce dernier fait de la récupération politique dans la fausseté pour ne pas dire dans le grotesque.
Il a peur de libérer les prisonniers politiques et même ceux de délit d’opinion. Car, s’il les libérait, il y aurait la peur de la revanche et de la rancune, pense-t-il ! Donc, peur du règlement de compte. Joseph Kabila est loin, très loin de se présenter en héros, car « Un héros n’est pas un homme qui a trop peur de s’enfuir. » Or, dans le cas de Joseph Kabila, tout, dans son action politique, indique que c’est un homme à enfermer dans une prison hautement sécurisée.
A dire vrai, Joseph Kabila Kabange n’a pas tiré leçon de l’histoire de notre peuple, ni de l’histoire de l’Afrique, sans parler de l’histoire politique du monde.
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BAMBA-DI-LELO
mapata- Modérateurs
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Date d'inscription : 15/10/2012
Re: Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir
Qu'il le veuille ou pas il partira de grès ou de force il partira, tout ce qu'il entreprend ce dernier temps ne marchera pas, même ces proches vont le trahir quand ils seront sur et certains que tout est fini, il a intérêt de partir parce que les Congolais sont détermines a ne plus se faire flouer.
mapata- Modérateurs
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Date d'inscription : 15/10/2012
Re: Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir
La constitution est claire et net 2 mandats et on organise les élections et on dégage donc il y a pas de négociations ou dialogues la dessus, il va dégager et après on s occupera de lui.
mapata- Modérateurs
- Messages : 660
Date d'inscription : 15/10/2012
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