Réponse d’un Congolais à Lambert Mende suite à ses injures proférées contre Moise Katumbi

Réponse d’un Congolais à Lambert Mende suite à ses injures proférées contre Moise Katumbi


M. Lambert Mende,

Vous venez de traiter Moïse Katumbi de VOYOU. Autrefois, vous aviez déclaré qu’il était VOLEUR. Cependant, Katumbi n’est ni l’un, ni l’autre. S’agissant du président de l’UDPS, M. Étienne Tshisekedi, vous aviez dit devant la presse qu’il était FOU. Notre Tshitshi a la tête bien posée sur ses épaules. Retenez que le Code pénal congolais a répertorié VOYOU, VOLEUR et FOU parmi les infractions qui pourraient faire l’objet d’une plainte formulée contre vous devant une juridiction de droits communs.




Comme ce texte est une réponse à vos insultes publiques, ne soyez pas surpris de sa teneur. Vous devez récolter le fruit de votre manque d’éducation et de votre délinquance sénile.

Tout Congolais a le droit de répondre à Lambert Mende, car Il est question de protéger Katumbi et Tshisekedi, qui sont devenus un patrimoine du peuple congolais.

CORPUS : Mr Omalanga. Vous êtes né pour exécuter de sales boulots. Porte-parole du RCD, vous avez eu à couvrir tous les crimes crapuleux qui se commettaient à l’Est de la RDC : tueries lâches, viols massifs des femmes et des mineures, enterrements des femmes vivantes, des charniers découverts, spoliation des biens d’innocents, etc. Juste un rappel. Vous adorez vous mettre en vedette ridiculement.


Quand votre mentor Kabila chie, au point de polluer le Congo jusqu’au trône de Dieu, vous le défendez devant l’opinion publique, qui vous raille sous cap et/ou aux éclats. Nombreux soutiennent que vous êtes acolyte, valet, laquais, lèche-cul inconditionnel de Kabila pour des casse-croûte et des villégiatures à Lodja seulement. Mais, traces, impacts, larmes et odeurs nauséabondes demeurent toujours au Kongo Central, à Kinshasa, au Kivu et au Katanga.

Vos moult points de presse pourraient vous rattraper un jour. Vous êtes co-auteurs, co-criminel des meurtres politiques qui endeuillent les congolais chaque jour. Celui qui défend de telles évidences est fou, voyou, voleur, pyromane, etc. Le bateau de Kabila prend l’eau partout, car torpillé et endommagé par Katumbi et Tshisekedi, qui incarnent la lutte de notre peuple. Mais, seul Mende peut faire croire à sa poignée de vendus de la MP que tout va bien. Chimères! Vous êtes parmi les Mobutistes qui creusent la tombe politique de Kabila.


Dans cette MP, vous ne représentez que votre propre ombre. Le français que vous prétendez connaître est truffé d’interférences de votre langue maternelle. Vos apparitions sur l’écran de la RTNC effrayent des téléspectateurs qui voient un voyou, un fou, un menteur né en train de s’exhiber. Vos injures faciles sont l’expression de votre colère, de votre haine vicérale contre Moïse que vous tenez à tuer par tous les moyens. Toutefois, nous ne vous laisserons pas faire.

Mr Mende Lambert, vous êtes champion en écarts de langage, ce qui n’est pas correct pour un personnage politique qui devrait soigner son image de marque. Sachez que votre sort est scellé pour l’enfer. Tous les hommes censés ont trouvé responsables, réfléchis et mûrs les propos de l’Honorable Katumbi.

Les discours de ce dernier sont consommés comme étant un mets politique pouvant faire école.




En conclusion, Mr Lambert, appréciez à son juste prix l’action politique que mène Moise Katumbi Chapwe. Ce dernier respecte bien ses adversaires politiques. Suivez ses sages conseils : ” Il y a un temps pour tout”. Lisez les signes du temps. Ce sont ces vérités qui vous chatouillent et vous causent des insomnies.

Mende, mon bien-aimé, cessez d’excécuter de sordides boulots au profit d’un pouvoir croulant. Vos casseroles de mensonges et de messes noires pourraient vous rattraper dans un avenir proche. La légitimité de notre peuple aujourd’hui est incarnée dans le charismatique Moïse. Ça vous provoque des crampes d’estomac. Voilà le premier volet de droit de réponse. Prochainement, vous recevrez les foudres de Jupiter.

Pierre Yuma

Mende ne fais que son travail.

Tu appelles léché les bottes de son supérieur un travail ?